La médecine quantique : Une nouvelle science prometteuse



La médecine quantique représente une discipline émergente et prometteuse qui examine les organismes vivants à travers le prisme de la biophysique, plutôt que de se limiter à la biochimie. Son développement a été particulièrement influencé par les recherches récentes de Fritz Albert Popp et Jacques Benvéniste.
 

Cette approche ouvre de nouvelles perspectives tant sur le plan du diagnostic que des traitements, en se concentrant sur les processus biophysiques fondamentaux qui régissent le fonctionnement biochimique des cellules. Les techniques de biorésonance, qui font partie intégrante de la médecine quantique, permettent déjà d'évaluer divers polluants chimiques présents dans l'environnement, ainsi que les réactions des individus face à l'augmentation des pollutions électromagnétiques.
 

Ces méthodes sont également capables d'identifier des informations perturbatrices provenant de virus, de bactéries, de parasites et de champignons. De plus, elles peuvent analyser l'efficacité de certains compléments alimentaires et atténuer les effets secondaires de médicaments allopathiques. En effet, les techniques de biorésonance ne se contentent pas de tester, elles peuvent aussi corriger les signaux déformés émis par le patient, à l'instar d'un oscilloscope utilisé dans un circuit électrique.
 

L'avenir de cette discipline semble prometteur, avec l'anticipation d'une amélioration continue des systèmes grâce aux avancées en informatique et en électronique.
 

Les Origines de la Médecine Quantique

 

L'histoire de la médecine quantique débute avec les travaux de Gurwitsch en 1923, qui a démontré l'importance du rayonnement ultraviolet dans la croissance cellulaire à travers des expériences sur des plantules d'oignons. Cinquante ans plus tard, Fritz A. Popp établit un lien entre l'effet cancérigène du 3,4 benzopyrène et sa capacité à absorber le rayonnement UV émis par les cellules, corroborant ainsi les conclusions de Gurwitsch.
 

Popp a également mis en évidence que l'intensité lumineuse émise par les cellules est extrêmement faible, mais que le nombre de photons émis est significatif, ce qui suggère un rôle crucial de cette lumière dans les processus biologiques. Ces émissions proviennent de l'ADN et sont si faibles qu'elles se situent en dessous du bruit de fond électromagnétique ambiant, nécessitant des résonateurs de haute qualité pour permettre une communication efficace entre les cellules.
 

En conclusion, les cellules possèdent une capacité remarquable à discriminer les signaux électromagnétiques, même en présence d'un bruit de fond intense.
 


Le principe de résonance sur quoi repose le concept de médecine quantique :

La cellule fonctionne comme un émetteur/récepteur.

Un rappel sur les propriétés d’un circuit oscillant :

Lorsqu’un circuit oscillant est mis sous tension électrique (commutateur position gauche comme indiqué sur le schéma), le condensateur se charge. Lorsque le commutateur est en position droite (hors tension) alors il se décharge en donnant naissance à un courant électrique qui va osciller avec une fréquence propre pouvant être calculée.


 

Si ce circuit est soumis à un spectre d’ondes électromagnétiques, il va rentrer en résonance avec l’une de ces ondes ayant la même fréquence que la fréquence propre du circuit oscillant. Il résonnera également avec des ondes voisines, mais avec une intensité bien plus faible (dépendra de la qualité du résonateur). C’est le principe de la radio‑diffusion !
 

Les intensités de champs entrant en jeu dans les phénomènes de résonances peuvent être extrêmement faibles surtout si les ondes produites sont en concordance de phases (laser) et si la qualité du résonateur est importante comme c’est le cas chez les êtres vivants.
 

Ces ondes peuvent véhiculer des informations. On parle alors de signaux. Ces informations correspondent aux différentes modulations (fréquences et amplitudes) des ondes porteuses captées par les circuits oscillants. Il en va de même dans le fonctionnement des systèmes biologiques ou certaines structures endo‑cellulaires (ADN, membranes, centrioles…) font office d’oscillateurs (émetteurs et récepteurs).
 

La théorie officielle proposée par Paul Ehrlich qui veut qu’une substance reconnaisse son récepteur par sa complémentarité structurale afin de réagir et de former un produit oublie de nous expliquer :
 

1. Comment la substance messagère se dirige‑t-elle vers le site récepteur ?

2. Et en combien de temps ? Si l’on tient compte simplement de l’agitation thermique pour que la rencontre ait lieu alors les réactions seraient bien trop lentes…
 

En fait la théorie officielle reste valable si l’on tient compte de la notion de « guidage » électromagnétique des molécules messagères vers les sites récepteurs.


En complémentarité des travaux de Gurwitsch et de Popp, ceux de Jacques Benveniste

 

Docteur en médecine et directeur de recherche de l’INSERM, il montre que des solutions de substances actives hautement diluées ont la capacité de déclencher une réaction « comme si » les molécules initiales étaient toujours présentent.
 

Par les variations du débit cardiaque d’un cœur de cobaye isolé, il démontre que des solutions hautement diluées d’ovalbumine (au‑delà du nombre d’Avogadro, signifiant qu’il n’y a plus de molécules dans la solution) restent malgré tout actives.

 


 

Mais le plus étonnant est à suivre : il démontre que le signal peut se transmettre à distance (montrant ainsi par la même occasion qu’il ne pouvait pas y avoir de contaminations dans le protocole précédent).En effet du « bruit blanc » émis par une source artificielle est transmis à travers une solution hautement diluée d’ovalbumine. Le signal est réceptionné à la sortie par une autre éprouvette contenant de l’eau ordinaire. Surprise, cette eau ordinaire est devenue « informée ». Elle peut faire varier également le débit cardiaque comme la solution initiale !
 

Le « bruit blanc » a reçu une modulation correspondant à la signature électromagnétique de l’ovalbumine.


LA BIORESONANCE
 

Médecine non intrusive, la biorésonance va permettre d'enregistrer et de modifier les ondes électromagnétiques émises par le corps humain. Celles‑ci présentent un spectre, une "résonance", spécifique pour chaque individu, composée de parties harmonieuses et de parties discordantes.
 

La surveillance des déséquilibres biophysiques va permettre leur rectification et finalement de traiter de nombreux maux.

 

Les différentes techniques de BIORESONANCE
 

La biorésonance est un terme générique regroupant les différents procédés d’analyse et de traitement utilisés en médecine quantique.
 

La biorésonance repose sur le concept des "biophotons" développé et démontré par Fritz POPP


L' appareil de biorésonance (biospect, physioscan, organotest...)  permet d’analyser les systèmes organiques et fonctionnels via un signal de basse fréquence transporté par une onde porteuse de haute fréquence. L’émetteur‑récepteur intégré sur le casque qui coiffe la tête du patient. Le logiciel présente alors les schémas des organes avec différents degrés de stress allant de 1 à 6 (stress maximal).


L’entropie peut également être analysée. À partir de ces données, des corrections fréquentielles peuvent être envoyées soit par « métathérapie » ou par « réinformation » directe de l’organe qui dysfonctionne. Possibilité également de tester des remèdes.

 

Source : Gilles Delattre ABE N°86
 

Lundi 6 Janvier 2025
Mikael Jones




Lu 2 fois














Newsletter
Facebook
Instagram